Le « concert » débute avec la musique, dirigée par Mr Lartigau. Les premiers sont les cinquièmes qui interprètent « L’aventurier » d’Indochine. Ils sont remplacés par les quatrièmes qui chantent « à L’assassin phonie » ( Florent Mothe) de la comédie musicale de « Mozart l’opéra rock ». Vient ensuite le tour des sixièmes qui nous proposent « Tous les droits des enfants » d’Yves Duteil.
La chorale prend le relais avec une batucada (Genre de musique avec des percussions traditionnelles du Brésil dont les formules rythmiques en font un sous-genre de la samba).
Amaury, Marina.
Photos du peuple Waraos de Mme Hébert :
Elles ont été prises au Venezuela. On voit des enfants à moitié nu, des parents et grands-parents dans leurs activités quotidiennes. Elle nous fait partager ce qu’elle a vu au Venezuela de la vie des Waraos.
Exposition Art Rythme Ethique :
Il y a des peintures présentées : un homme tourmenté, des mains essayant de le saisir : l’œuvre est nommée « Manipulations » de Quitterie Duvignac fait en 2008. Il y a des sculptures aussi, dont trois représentant des oiseaux : c’est Le Poulailler de Julien Righi fait en 2006.
Je vous présente une autre peinture de Quitterie Duvignac : elle se nomme « âmes » et date de 2007 ; elle a une particularité : de loin on ne le voit pas forcément mais si on regarde bien on voit des têtes humaines sur les branches de l’arbre : c’est donc pour ça qu’elle s’appelle « Ames ».
Nous avons interrogé quelques personnes pour savoir ce qu’elles avaient pensé des œuvres et sculptures du CDI : Lola et Marie nous on dit qu’elles aimaient les œuvres et qu’elles ont à présent aussi envie de faire des sculptures ou des peintures. Elles les ont trouvées originales, spéciales, uniques et recherchées.
Alexandrie
Lundi 12 mars, 13h30, dans la cour de récréation :
Prestation de Danse
Le spectacle vient juste d'être annoncé que déjà, une foule est réunie. Un vrai capharnaüm ! Difficile de se glisser entre pour observer !
C'est bon, deux jeunes filles arrivent et se mettent en place. Ce sont les danseuses. La musique est lancée, les jeunes filles aussi. La musique est harmonieuse, les jeunes filles aussi, elles font un duo, sans pour autant faire les même pas en permanence. Elles sont bien ensemble, leurs gestes sont précis, souples. C'est beau à voir, et les spectateurs ont l'air d'accord avec moi. Elles font des gestes de plus en plus brusques, la musique change, son rythme s'est accéléré, une des deux jeunes filles, Cigalie, s'élance et débute un solo. Le public regarde avec attention. La danse était au début classique, puis est devenue contemporaine, enfin, elle se change en hip-hop. Figures au sol et danse des rues sont au rendez-vous ! Maintenant, c'est à Judith de se lancer dans un solo. Finalement, elles refont un duo. Enfin, les musiques s'arrêtent, les jeunes filles prennent la pause, sous les applaudissements des spectateurs. Les artistes demandent aux élèves ce qu'ils en pensent, et ils répondent avec enthousiasme qu'ils sont ravis et que le spectacle leur a plu.
On se dirige vers un groupe d' élèves qui nous donnent leur avis :
« C'était très bien, très intéressant, original et recherché. On distinguait bien les différents types de danses (Ophélie, Justine, Léa et Camille)
Nous nous sommes dirigés vers les artistes. Elles nous ont dit qu'elles faisaient toutes les deux de la danse depuis l'âge de 4 ans. Elles sont toutes les deux professeurs de danse, Judith de classique, Cigalie de contemporaine.
Marina
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